Le coup d’envoi du festival International du Film de Rotterdam aura lieu le 21 janvier prochain. Ce festival qui a la réputation de soutenir les jeunes réalisateurs venant des quatre coins du monde semble se renouveler chaque année. Rutger Wolvson, est maintenu officiellement à la tête de l’organisation après une session essai l’année dernière. Et la version 2009 du festival semble prendre de nouvelle couleurs. Quelques changements au niveau de la structure de la programmation lui donnent une nouvelle orientation vers le cinéma expérimental et vers plus soutien à l’exploitation du film d’auteur.
Le festival de Rotterdam se dote en effet d´une nouvelle structure de programmation. Désormais les films seront distribués d´une manière simple sur trois sections. La compétition officielle destinée aux premières et secondes œuvres. Elle est baptisée « Bright future ». Spectrum est le titre de la deuxième section qui est réservée aux cinéaste plus reconnus et qui aux yeux des organisateurs présentent un apport certain au monde de l’image dans le monde entier. Quant à la troisième, elle accueillera les œuvres expérimentales et installations vidéo d’où son appellation métaphorique « Signals ». en simplifiant la structure de la programmation les organisateurs entendent répondre à un changement réel dans le monde du cinéma et des arts de l’image. C’est selon Rutger Wolvson, une façon pour le festival de regarder vers le future du film comme culture.
La nouvelle tendance aussi dans l’esprit du festival se situe aussi au niveau du sens que la compétition va prendre dès cette année. La compétition a été jusqu’ici un complément de soutien au jeunes réalisateurs pour la production de leur premier film en combinaison avec le Cinemart et le Hubert Bals Fund. La nouvelle idée est de se servir du prestige de la compétition pour faciliter la circulation des films sélectionnés et / ou primés à Rotterdam dans les festivals afin de promouvoir leur distribution. Cette orientation vient répondre à la conscience que le monde du film d’auteur est en train d’être confronté à des difficultés énormes au niveau de la distribution et de l’exploitation.
La section traditionnelle des hommages fera honneur à trois cinéastes : le Polonais Jerzy Skolimowsky, l’Italien Paolo Benvenuto et le Suisse Peter Liechti. Les trois messieurs feront le déplacement à Rotterdam pour accompagner leurs films. Mais la touche 2009 est réservé aux tous premiers grand pas de cinéastes célèbres. « First things first » est ce que nous pourrions traduire par « d’abord les toutes premières choses ». Dans cette section seront projetés les films de réalisateurs qui depuis ont eu une reconnaissance internationale. On retrouvera entre autres Manoel di Olivera avec Duro Faina Fluvial de 1931, Jean-Marie Straub avec Machorka Muff de 1963…
La manière est peut-être différente des éditions précédentes, mais le but reste le même : être à l’écoute des grands changements que connait le monde de l’image et du cinéma. Le festival continue de porter un intérêt primordial à la cinéphilie dans son sens le plus classique. Mais il se veut aussi l’écho de tout ce qui peut agir sur la sensibilité à l’image et à sa consommation. De ce point de vue Le festival de Rotterdam restera fidèle à l’esprit qui a fait sa réputation : Etre toujours le premier à se demander « Quoi de neuf … ? »
Le festival de Rotterdam se dote en effet d´une nouvelle structure de programmation. Désormais les films seront distribués d´une manière simple sur trois sections. La compétition officielle destinée aux premières et secondes œuvres. Elle est baptisée « Bright future ». Spectrum est le titre de la deuxième section qui est réservée aux cinéaste plus reconnus et qui aux yeux des organisateurs présentent un apport certain au monde de l’image dans le monde entier. Quant à la troisième, elle accueillera les œuvres expérimentales et installations vidéo d’où son appellation métaphorique « Signals ». en simplifiant la structure de la programmation les organisateurs entendent répondre à un changement réel dans le monde du cinéma et des arts de l’image. C’est selon Rutger Wolvson, une façon pour le festival de regarder vers le future du film comme culture.
La nouvelle tendance aussi dans l’esprit du festival se situe aussi au niveau du sens que la compétition va prendre dès cette année. La compétition a été jusqu’ici un complément de soutien au jeunes réalisateurs pour la production de leur premier film en combinaison avec le Cinemart et le Hubert Bals Fund. La nouvelle idée est de se servir du prestige de la compétition pour faciliter la circulation des films sélectionnés et / ou primés à Rotterdam dans les festivals afin de promouvoir leur distribution. Cette orientation vient répondre à la conscience que le monde du film d’auteur est en train d’être confronté à des difficultés énormes au niveau de la distribution et de l’exploitation.
La section traditionnelle des hommages fera honneur à trois cinéastes : le Polonais Jerzy Skolimowsky, l’Italien Paolo Benvenuto et le Suisse Peter Liechti. Les trois messieurs feront le déplacement à Rotterdam pour accompagner leurs films. Mais la touche 2009 est réservé aux tous premiers grand pas de cinéastes célèbres. « First things first » est ce que nous pourrions traduire par « d’abord les toutes premières choses ». Dans cette section seront projetés les films de réalisateurs qui depuis ont eu une reconnaissance internationale. On retrouvera entre autres Manoel di Olivera avec Duro Faina Fluvial de 1931, Jean-Marie Straub avec Machorka Muff de 1963…
La manière est peut-être différente des éditions précédentes, mais le but reste le même : être à l’écoute des grands changements que connait le monde de l’image et du cinéma. Le festival continue de porter un intérêt primordial à la cinéphilie dans son sens le plus classique. Mais il se veut aussi l’écho de tout ce qui peut agir sur la sensibilité à l’image et à sa consommation. De ce point de vue Le festival de Rotterdam restera fidèle à l’esprit qui a fait sa réputation : Etre toujours le premier à se demander « Quoi de neuf … ? »
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